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PAUL BOCUSE

 

Paul Bocuse, né le 11 février 1926 à Collonges-au-Mont-d'Or (Rhône), est un grand chef cuisinier français parmi les plus célèbres du monde, un des maîtres de la cuisine traditionnelle et de la grande cuisine, précurseur de la nouvelle cuisine et trois macarons Michelin (étoiles) au Guide Michelin depuis 1965. Il est désigné "Cuisinier du siècle" par Gault et Millau et "Pape de la gastronomie" en 1989, puis "Chef du siècle" en 2011 par The Culinary Institute of America. Il dirige de nombreux restaurants à Lyon et dans le monde, dont le restaurant gastronomique L'Auberge du Pont de Collonges à Collonges-au-Mont-d'Or et fonde les Bocuse d'Or en 1987, un des plus prestigieux concours de gastronomie du monde.
(www.fr.wikipedia.org/wiki/Paul_Bocuse)

 

L'avis du Michelin
"Temple de la grande cuisine, institution du service à l'ancienne... Le restaurant de Paul Bocuse est un véritable monument. Classique parmi les classiques, chaque assiette incarne l'une des plus belles pages de la gastronomie française. Le grand chef est entré dans l'Histoire : quel meilleur hommage que ces trois étoiles portées depuis 1965 !"

3 étoiles MICHELIN : une cuisine unique. Vaut le voyage ! Standing exceptionnel. Belle carte des vins.

JOSÉ AVLILLEZ

 

Considéré comme l'une des célèbres références de la cuisine au Portugal, José Avillez se signale par un esprit entrepreneur et une volonté d'aller toujours plus loin. Il possède actuellement cinq restaurants à Lisbonne et un à Porto qui, malgré des offres gastronomiques bien différentes, expriment son énorme passion pour la cuisine.

Au "Belcanto", un restaurant 2 étoiles Michelin, considéré également comme l’un des cent meilleurs restaurants du monde par la prestigieuse "The World's 50 Best Restaurants List", José Avillez propose une cuisine portugaise revisitée dans une atmosphère sophistiquée qui retient encore un certain romantisme de l'ancien quartier du Chiado. C'est cette cuisine qui définit véritablement José Avillez et traduit son évolution créative. 

(www.joseavillez.pt/fr/)

 

L'avis du Michelin
"Installée dans le pittoresque Bairro Alto, cette table dissimule, derrière sa façade discrète, deux salles soignées d'esprit à la fois classique et actuel, offrant toutes deux une vue sur les cuisines. Assiettes d'assise traditionnelle assorties de plats très créatifs !"

2 étoiles MICHELIN : une cuisine d’exception. Vaut le détour ! Très bon standing. Belle carte des vins.

EMMANUEL RENAUT

 

Emmanuel Renaut, né le 26 janvier 1968 à Soisy-sous-Montmorency, est un chef cuisinier français. Il entre au CFA de Laon en 1984. Apprenti à Étouvelles, il poursuit sa carrière à Paris. Il intègre la brigade de l'hôtel Le Lotti puis travaille pour Christian Constant au Crillon en tant que premier commis. Il est engagé comme saisonnier par Marc Veyrat, chef cuisinier de l'auberge de l'Eridan à Veyrier-du-Lac, puis occupe le poste de second durant quatre ans. Il effectue un passage chez le cuisinier-pâtissier Yves Thuriès et poursuit son parcours à Londres, où il dirige pendant un an la cuisine de l'hôtel Claridge's. Il prend part à la 31e édition du prix culinaire international Pierre-Taittinger et décroche la 3e place. Renaut obtient le titre de meilleur ouvrier de France en 2004. Le Guide Michelin lui décerne une troisième "étoile" en 2012.

(www.fr.wikipedia.org/wiki/Emmanuel_Renaut)

 

L'avis du Michelin
"Plusieurs chalets au-dessus de Megève... Suivez les sommets, vous rencontrerez Emmanuel Renaut. Voilà bien un grand cuisinier, habité par la passion de la montagne : si ses recettes possèdent une vraie signature, elles apparaissent aussi infiniment proches de la nature !"

3 étoiles MICHELIN : une cuisine unique. Vaut le voyage ! Très bon standing. Nos plus belles adresses. Belle carte des vins.

RENÉ ET MAXIME MEILLEUR

 

En 1976, René et Marie-Louise acquièrent un champ de pommes de terre pour y créer le restaurant La Bouitte (c'est la "petite maison" en patois savoyard). Ils prodiguent une savoureuse cuisine savoyarde, simple et généreuse. Rejoints dans les années 1990 par leurs enfants Sophie, Maxime et leurs conjoints Florent et Delphine, ils vont bâtir au fil des ans le chalet de leur rêve, sculpter le bois, marier les matériaux les plus nobles de la Savoie ancestrale. Depuis l’obtention de la 2e étoile Michelin en 2008, puis un agrandissement en 2011 et tout récemment, en 2015, la 3e étoile, La Bouitte ne cesse de gagner en caractère.

(www.la-bouitte.com/fr)

 

L'avis du Michelin
"La Bouitte... ou une aventure familiale devenue épopée ! D'années en années, en toute discrétion, René et Maxime Meilleur - père et fils très complices - ont forgé une table d'une sincérité rare, ode superbe à la Savoie. Chaque ingrédient est à sa place, cuisiné à la perfection, sans nulles afféteries. Les assiettes débordent de senteurs originales ; elles transpirent, tout simplement, le bonheur."

3 étoiles MICHELIN : une cuisine unique. Vaut le voyage ! Très bon standing. Nos plus belles adresses. Belle carte des vins

JOSEPH VIOLA

 

Fils d’immigrés italiens arrivés dans les Vosges en 1960, né en décembre 1965 et cadet d’une famille de sept enfants, le jeune Pepo fait ses gammes sous la houlette de René Remy à l’hôtel des Vallées à La Bresse. Une révélation.La suite ? Quatre années chez Michel Guérard à Eugénie-les-Bains où Joseph Viola obtiendra le poste de second, puis une décennie à Lyon, chez Léon de Lyon, aux côtés de Jean-Paul Lacombe en qualité de chef de cuisine.En 2004, Joseph Viola obtient le prestigieux diplôme de "Meilleur Ouvrier de France". Cette même année, soutenu par son épouse Françoise, ils prennent la suite du chef Daniel Léron (MOF 1976) aux commandes du bouchon lyonnais Daniel & Denise.En 2012, Joseph et Françoise ouvrent un second bouchon, Daniel & Denise Saint Jean, au cœur du quartier historique du Vieux Lyon. Les deux adresses recevront notamment un Bib gourmand par le Guide Michelin.L’aventure continue avec l’ouverture de Daniel & Denise Croix Rousse…Labellisé "bouchons lyonnais", Daniel & Denise est devenu une véritable institution, témoin d’une histoire culinaire vivante. 

(www.danieletdenise.fr/parcours-culinaire)

 

L'avis du Michelin
"Joseph Viola - Meilleur Ouvrier de France - règne sur ce petit bouchon au décor patiné par le temps. Il propose des recettes traditionnelles parfaitement réalisées, à base de superbes produits, avec quelques suggestions de saison. Son plat fétiche ? Le pâté en croûte au ris de veau et foie gras..."

Bib Gourmand : Restaurant sélectionné par les inspecteurs du guide MICHELIN pour son très bon rapport qualité/prix. Standing simple.

GUY MARTIN

 

Guy Martin, né le 3 février 1957 à Bourg-Saint-Maurice (Savoie), est un des plus importants chefs cuisiniers, actuel chef du Grand Véfour à Paris. Il en est depuis janvier 2011 le propriétaire. 

(www.fr.wikipedia.org/wiki/Guy_Martin)

 

L'avis du Michelin
"Bonaparte et Joséphine, Lamartine, Hugo, Mac-Mahon, Sartre... Depuis plus de deux siècles, l'ancien Café de Chartres est un vrai bottin mondain ! Repaire des rendez-vous galants, des révolutionnaires et des intellectuels, le plus vieux restaurant de Paris (1784-1785) connut, d'un propriétaire à l'autre, grandeur et décadence. Incendie, attentat, fermeture... Il entre dans la légende en 1820 avec Jean Véfour, qui lui donne son nom. Quelques guerres plus tard, en 1948, Raymond Oliver lui rend son éclat en lui apportant ses premières étoiles, que Guy Martin entretiendra à sa suite. Voilà pour l'histoire, tracée à grands traits. Reste le lieu, unique en son genre, restauré comme à l'origine et classé monument historique. Ouvertes sur le jardin par des arcades, deux magnifiques salles Directoire : miroirs, lustres en cristal, dorures, toiles peintes fixées sous verre inspirées de l'Antiquité. Quant à la cuisine, influencée par les voyages et la peinture - couleurs, formes, textures, le chef atypique "croque" ses plats comme un artiste -, c'est un juste équilibre entre grands classiques et recettes créatives."

2 étoiles MICHELIN : une cuisine d’exception. Vaut le détour ! Excellent standing. Nos plus belles adresses. Belle carte des vins.

THIBAULT SOMBARDIER

 

Un chef amoureux de la mer et de ses produits…A tout juste trente ans, le chef Thibault Sombardier est déjà unanimement considéré comme un des chefs les plus talentueux de sa génération. Cette reconnaissance trouve sa source dans un parcours alliant une parfaite maîtrise des techniques culinaires les plus pointues et une véritable passion pour les plus beaux produits de la mer. Originaire de Lyon - ville de référence dans le monde de la gastronomie française - il rêve de devenir cuisinier dès sa plus tendre enfance.Après des études à l’école hôtelière, il travaillera auprès de chefs emblématiques tel Marc Meneau à Vézelay, Bernard Constantin à Rillieux–la-Pape ou encore, à Paris, Alain Dutournier et Yannick Alléno. Chef rigoureux, Thibault Sombardier est, par ailleurs, extrêmement sensible aux rapports qu’il doit entretenir avec une nature à même de lui fournir des produits exceptionnels. Lui-même passionné de chasse marine, il met un point d’honneur à proposer des poissons issus d’une pêche artisanale respectueuse du milieu marin. Pour cela, quand il ne va pas lui-même acheter des pièces hors du commun, il se fournit auprès des meilleurs mareyeurs comme, par exemple, ceux de Saint Gilles Croix de Vie, haut-lieu de la pêche de haute qualité en France. C’est grâce à cette rigueur dans les approvisionnements et au remarquable talent créatif de Thibault Sombardier que le restaurant Antoine est aujourd’hui une référence en matière de cuisine de la mer que nous aimerions faire découvrir à tous les amoureux des grandes saveurs. 

(www.antoine-paris.fr)

 

L'avis du Michelin
"Le chef Thibault Sombardier (finaliste de l'émission Top Chef en 2014) est à la barre de ce haut lieu de la cuisine de la mer à Paris. La carte change chaque jour pour offrir le meilleur de la marée, en liaison directe avec les ports bretons, vendéens, basques ou méditerranéens. En cas d'arrivage surprise, on pourra même vous proposer quelques suggestions de dernière minute ! On se régale donc pour ainsi dire au gré des vagues... Que les carnivores se rassurent, un petit choix de viandes est prévu rien que pour eux - sans parler des très alléchants desserts (assiette tout chocolat, baba au rhum, etc.). Le chef a l'amour de l'excellent produit et des belles saveurs, qu'il sait exalter avec finesse et inventivité. Une salle agréable, baignée de lumière et sobrement décorée, permet de les apprécier à leur juste valeur. Et comme elle offre une jolie vue sur les cuisines, la mer n'est jamais vraiment loin..."

1 étoile MICHELIN : une cuisine d’une grande finesse. Vaut l’étape ! Très bon standing.

SÉBASTIEN BOUILLET

 

Après l’obtention d’un CAP Pâtisserie qu’il obtient en 1967, Monsieur Henri Bouillet décide d’ouvrir sa boutique en 1977 au 15 place de la Croix Rousse. Le magasin deviendra rapidement une référence dans ce célèbre quartier lyonnais. Sébastien Bouillet, poussé par la passion de la pâtisserie que lui ont transmis ses parents et après un parcours dans les plus prestigieuses pâtisseries françaises, décide de reprendre l’entreprise familiale en 2000.
Il insuffle un souffle nouveau dans la Maison dès son arrivée. Son goût pour les voyages, son dynamisme et sa passion pour la création le conduisent depuis ses débuts à faire de la Maison Bouillet une maison prestigieuse.
Gâteau Ecole, l’école de pâtisserie de Sébastien BouilletSébastien Bouillet avait envie de faire partager sa passion et son savoir-faire au grand public. C’est donc en 2009 que l’école de pâtisserie Gâteau Ecole verra le jour.
Les adultes ainsi que les enfants peuvent confectionner et déguster les recettes qui ont fait la réputation de la Maison Bouillet.C’est donc dans un esprit convivial, d’échange et de partage que se déroulent les cours à Gâteau Ecole.

(www.chocolatier-bouillet.com/boutique-en-ligne/sebastien-bouillet)

CYRIL LIGNAC

 

Cyril Lignac est un cuisinier français, né le 5 novembre 1977 à Rodez. Il est chef et propriétaire du restaurant gastronomique Le Quinzième (1 étoile Michelin), du bistrot Le Chardenoux dans le 11e arrondissement de Paris, Aux Prés dans le 6e arrondissement, des Pâtisseries Cyril Lignac dans les 6e, 11e, 15e et 16e arrondissement et de la Chocolaterie Cyril Lignac dans le 11e arrondissement. Il est animateur de programmes culinaires sur la chaîne française M6 et publie des livres de recettes chez Hachette Pratique principalement.

(www.fr.wikipedia.org/wiki/Cyril_Lignac)

 

L'avis du Michelin
"Le restaurant de Cyril Lignac semble tout aussi sympathique que son - ô combien - médiatique chef ! À quelques enjambées du parc André-Citroën, voilà bien une adresse en vue : à la fois trendy et feutrée, chic et très contemporaine. Une élégante table d'hôte ouvre sur les fourneaux par une large baie vitrée, permettant d'admirer la brigade à l'oeuvre. Aucun doute, les assiettes siglées Lignac font belle impression : esthétiquement très abouties, elles révèlent des associations de saveurs originales et flatteuses. Ainsi ces trois superbes noix de Saint-Jacques d'une fraîcheur incomparable, délicatement rôties à l'huile d'olive, surplombées de zestes et de mini-dés de clémentines, accompagnées d'une purée de carotte et d'une crème de tonka ultra-mousseuse... un plat que l'on n'oubliera pas de sitôt !"

1 étoile MICHELIN : une cuisine d’une grande finesse. Vaut l’étape ! Très bon standing

KÉVIN D'ANDRÉA

 

Dans sa jeunesse, Kévin fut dans l’obligation de cuisiner pour sa soeur et lui, sa mère ayant des problèmes de santé. Très vite, il a cotoyé les grandes brigades des palaces et ce métier est devenu une évidence. Formé notamment par Yannick Aléno, Kevin un travailleur infatigable qui aime la précision des dressages et l’adrénaline des coups de feu. Malgré son look de playboy gominé et tatoué, il se décrit volontiers comme un cuisinier subtil et féminin.Videos, séries et émissions sur M6.fr : Kevin D’Andrea, découvrez le profil du candidat de l'émission Top Chef sur M6. 

(www.m6.fr/emission-top_chef/candidat/kevin-d-andrea/#ixzz46eVchTcY)

 

L'avis du Gault et Millau
"Pour ceux qui ont conservé quelques souvenirs de leurs déclinaisons latines, Mensae est tout simplement le génitif de mensa, la table. Une enseigne originale pour cette table imaginée par Thibault Sombardier (2 toques au restaurant Antoine dans le 16e) qui va forcément faire parler d’elle. Ancien finaliste de l’édition Top Chef 2014 et accessoirement habitant du quartier, ce dernier a en effet confié les fourneaux de son bistrot (installé à la place de l'ancien restaurant Hermès) à un autre chef médiatique, Kevin d’Andréa, lui aussi finaliste de Top Chef l’an dernier. Simple, authentique et sincère, sa cuisine va droit à l’essentiel, évitant tout excès démonstratif et s’appuyant sur d’excellents produits et des cuissons parfaitement maîtrisées : terrine de foies de volaille et pickles de légumes, aile de raie à la grenobloise, compression de pomme et glace au lait fermenté pour une belle première toque. Formule entrée/plat ou plat/dessert à 20 € au déjeuner, menu complet à 36 € au dîner."

CHRISTIAN CONSTANT

 

Il est celui qui a fait monter le Sud Ouest à Paris. Christian Constant est assurément le plus occitan des occitans. Un ambassadeur de luxe. Un fidèle emblème. De Montauban, il a gardé son accent. De la rue Saint-Dominique dans le 7earrondissement de la capitale, il a fait son jardin. L’endroit rêvé pour planter ses racines : au 135 avec le Violon d’Ingres (1 étoile) et les Cocottes et au 139 avec le Café Constant. "Il faut se rappeler d’où l’on vient", martèle-t-il avec son timbre de voix si chantonnant. Il ne l’a pas oublié en faisant sortir de terre son quatrième établissement, le Bibent, place du Capitole à Toulouse. Et plus près encore de sa ville natale, avec son dernier né, le Bistrot Constant, véritable havre de paix en bordure du canal de Montech. A 65 ans, "Monsieur Constant" comme on l’appelle dans le milieu – s’est fait un prénom avant un nom. Il fut le maestro du piano au Crillon, place de la Concorde, qu’il abandonna après sept ans d’une partition sans fausse note en 1996 pour s’ouvrir les portes d’une seconde vie. Celle d’un homme épanoui dont le style n’a jamais changé : "le canaille allié au chic", pourrait-on oser pour le résumer. Les assiettes de Christian Constant ne mentent pas, elles disent vraies, respirent l’authentique, fleurent les bons produits et exhalent la philosophie du "mangez bon". "Je préfère par dessus tout l’originel à l’original", glisse-t-il dans une formule qui lui va si bien.

On construit toujours son futur sur son passé en prenant le soin de bien le conjuguer au présent. Christian Constant fut un formidable "papa en cuisine", à la tête d’une constellation de talents : Eric Frechon (3 étoiles), Emmanuel Renaut (3 étoiles), Jean-François Rouquette (1 étoile), Yves Camdeborde, Christian Etchebest, Thierry Faucher, Thierry Breton… Petit, Christian Constant rêvait de tour Eiffel. Il la salue désormais chaque soir en quittant la terrasse d’un de ses restaurants de la rue Saint-Dominique. Celle où il continue d’écrire le fil de son histoire.

(www.maisonconstant.com/chef-constant/)

 

L'avis du Michelin
"Une enseigne au sens double pour Christian Constant : elle évoque à la fois sa passion pour la cuisine, héritée de sa grand-mère, et sa fascination pour le peintre éponyme, originaire comme lui de Montauban. Le nom de son premier restaurant était donc tout trouvé, quand il a décidé de voler de ses propres ailes après une brillante carrière dans les palaces et les grandes maisons (Ledoyen, Ritz, Crillon). Mais ici, fini les grosses brigades, les ambiances très huppées et les recettes qui subjuguent au-delà de tout. Christian Constant s'exprime avec simplicité, faisant confiance à une équipe réduite, dans ce qui ressemble à une néobrasserie de luxe. La salle, entièrement repensée en 2013, se pare désormais de teintes taupe, brun et beige, avec de grands miroirs muraux pour en agrandir l'espace. On y déguste de belles recettes traditionnelles - où le Sud-Ouest tient une bonne place -, d'une parfaite maîtrise technique, mais joliment modernisées et toujours concoctées à base de produits de grande qualité. Un détail : pensez à réserver, c'est souvent complet. La rançon du succès."

1 étoile MICHELIN : une cuisine d’une grande finesse. Vaut l’étape ! Bon standing.

CÉDRIC GROLET

 

"Cédric Grolet est originaire de Firminy, petite commune française située dans le département de la Loire et la région Rhône-Alpes. Agé de 30 ans, il est aujourd’hui Chef Pâtissier de l’Hôtel Le Meurice.

Issu d’une famille de restaurateurs, il passait les fêtes de famille ainsi que tous les Noëls dans l’hôtel-restaurant de ses grands-parents à Andrézieux-Bouthéon. Il se découvre alors une passion pour la cuisine et commence à y travailler dès l’âge de 12 ans. C’est en cueillant des fraises qu’il a eu une révélation et l’envie de faire des gâteaux !

A 13 ans, Cédric fait son premier stage dans une boulangerie pendant les vacances d’été. Cette expérience l’a beaucoup fait grandir, même s’il avoue avoir passé plus de temps à faire du nettoyage qu’à faire des gâteaux ! A la fin de son stage, enchanté, le boulanger demande à ses parents s’il peut le garder et conseille à notre jeune chef en herbe de poursuivre dans cette voie via un apprentissage. C’est à 14 ans que Cédric s’oriente vers une formation en pâtisserie. Il effectue son CAP Pâtissier-Chocolatier-Glacier au Puy en Velay, et n’a qu’une seule idée en tête : devenir le meilleur de l’école ! Ambitieux et travailleur, il sera premier de sa classe notamment grâce à la pratique de ses théories et se distinguera dans de nombreuses compétitions.

Cédric devient Meilleur Apprenti d’Auvergne puis obtient la 3è place au concours de Meilleur Apprenti de France. Il est reçu 1er de sa mention complémentaire, ce qui lui permet de compléter son parcours par un Brevet Technique des Métiers à Yssingeaux, la plus haute formation dispensée en pâtisserie.

Cédric remporte également le Trophée National du Sucre d’Art, ainsi que le 1er prix du Festival National des Croquembouches en 2005.
Suite à ses brillantes réussites, il débarque à Paris et dépose son premier CV pour un emploi de commis au Meurice, avant d’être engagé chez Fauchon avec pour mission principale élaborer des macarons et travailler en boulangerie. Très vite repéré par les chefs Christophe Adam et Benoit Couvrand, il part les accompagner à Pékin pour former les équipes Fauchon de la nouvelle boutique. Son expérience chez Fauchon lui permet de maitriser la technique des macarons et des pains à la perfection. A son retour de Pékin, il va redoubler d’énergie et montrer de quoi il est capable, notamment en réalisant des entremets à la pâtisserie. Il accède alors au poste convoité de Recherche et Développement où il restera 5 ans. En charge de tous les essais et de la création des modèles photographiés, il participe à la rédaction de deux ouvrages avec Christophe Adam et Benoît Couvrand et continue d’assurer en parallèle la formation du personnel des nouvelles boutiques Fauchon dans le monde entier, de Dubaï au Maroc en passant par la Corée du Sud.

En 2011, Cédric intègre Le Meurice en tant que Sous Chef en pâtisserie pour le restaurant gastronomique, et se consacre alors entièrement à la réalisation du dressage minute des desserts à l’assiette. Fort de ses diverses expériences, il est très à l’aise dans l’élaboration et la réalisation de toutes les pâtisseries et n’en préfère aucune en particulier. Il aime la pâtisserie avec un grand « P », s’amuser avec le chocolat, et suivre les saisons. Aujourd’hui, le travail de Cédric Grolet s’organise autour de trois axes : les classiques revisités, la modernité au présent et la vision du futur."

(www.dorchestercollection.com/fr/paris/le-meurice/restaurant-bars/portraits-des-chefs)

PIERRE SANG BOYER

 

Coréen d’origine et adopté à l’âge de 7 ans par une famille passionnée de cuisine, Pierre Sang Boyer trouve rapidement sa voie. Après avoir tenté d’être boulanger, il se tourne vers la cuisine. Chef du restaurant de L’Opéra de Lyon, il a exercé dans plusieurs établissements étoilés, notamment à Londres, comme chef de partie ou sous-chef. Rigoureux et obstiné, il s’oblige à réinventer systématiquement ses assiettes et met une imagination sans limite au service d’un dressage sophistiqué. Il participe à TOP CHEF pour gagner ! A créé plusieurs restaurants éphémères, notamment à Paris, à Bordeaux, à Poitiers et au Puy-en-Velay. Il a depuis ouvert deux établissement à Paris dans le 11eme arrodissement. 

(www.m6.fr/emission-top_chef/candidats-2011/pierre_sang_boyer/)

 

L'avis du Michelin
"Qui est adepte de l'émission Top Chef, sur M6, connaît forcément Pierre Sang, finaliste en 2011. C'est ici, à Oberkampf, qu'il a décidé de s'installer. Une belle surprise ! On retrouve toute la gentillesse du jeune homme, qui délivre - on pouvait l'imaginer - une cuisine sensible et partageuse. Le menu change chaque jour en fonction du marché et de son inspiration, laquelle n'hésite pas à bousculer les habitudes, mais jamais vainement. Le cuisinier n'a pas oublié les fondamentaux, lui qui, après son BEP au Puy-en-Velay, a roulé sa bosse à Lyon, en Asie, à Londres, etc. De là sa patte cosmopolite, amatrice d'herbes et d'épices... Nul doute : ses assiettes ne manquent ni d'idées ni de saveurs ! Les produits viennent des commerçants voisins et on passe en ami (pas de réservation) : un endroit fort sympathique !"

Assiette MICHELIN : une cuisine de qualité. Standing simple.

FRANCOIS PRALUS

 

C'est en 1948 qu'Auguste Pralus, né en 1920, ouvre sa pâtisserie à Roanne, dans le département de la Loire. Il conçoit et réalise dès le départ des mets de haute qualité et obtient en 1955 le titre de Meilleur Ouvrier de France. Il invente à la même époque, la fameuse "Praluline" qui le rendra célèbre et France et à l'étranger.En 1988, son fils François Pralus, né en 1959, poursuit la tradition d'une maison renommée. Après un long apprentissage du métier et un tour de France des grands de la pâtisserie dont Bernachon à Lyon et Lenôtre à Paris, il crée à Roanne un laboratoire consacré au chocolat.En 1998, François Pralus ouvre des magasins en France à Charlieu, à Renaison et à Annecy ; en 2008, il ouvre une boutique au 35 rue Rambuteau dans le 4ème arrondissement de Paris ; en 2010, il ouvre un corner à Tokyo au Japon ; en 2011, il ouvre un second corner à Tokyo ; en 2012, il ouvre une seconde boutique parisienne au 44 rue Cler dans le 7ème arrondissement de Paris ; en 2013, il ouvre une boutique au 32 rue de Brest dans le 2ème arrondissement de Lyon ; en 2015, il ouvre une deuxième boutique lyonnaise au 3 grande rue de la Croix-Rousse dans le 4ème arrondissement de Lyon et il ouvre une boutique au 758 rue nationale à Villefranche-sur-Saône. 

(www.fr.wikipedia.org/wiki/Pralus)

FRÉDÉRIC VAUCAMPS

 

Fréderic est né en 1963 et vit avec sa famille dans le nord de la France. Bercé dès le plus jeune âge par le rythme de cette passion, Frédéric a commencé sa formation d’apprenti pâtissier dès 14 ans. Caractère truculent, il aime à rappeler que son savoir-faire se forge à coups d’expériences : coups de chance, échecs, réussites et tentatives. Coup de chance, la pâtisserie est le lieu de son épanouissement personnel et professionnel. Echec ; en 1982 Frédéric reprend une enseigne avec son frère où ils travaillent avec passion le produit sous-estimant les contraintes entrepreneuriales du métier. Echaudé par ce revers, Frédéric poursuit toutefois son activité avec pour principales quêtes, celles du plaisir, de la créativité et de l’exigence. Dès 1985 il revisite la recette du Merveilleux pour gagner en légereté et le décliner en plusieurs parfums ; succès, la pâtisserie traditionnelle devient un produit populaire. Il y retravaille également la brioche et la dote d’une gamme de saveurs ; réussite, les Cramiques emballent leur public. 

(www.auxmerveilleux.com/histoire)

SÉBASTIEN GAUDARD

 

Sébastien Gaudard est un pâtissier français né le 5 janvier 1970 à Pont-à-Mousson en région Lorraine.Il est l'héritier de Daniel Gaudard, son père qui fût pâtissier dans la même ville. Depuis décembre 2011, il possède une pâtisserie à son nom, rue des Martyrs à Paris et un salon de thé rue des Pyramides. 

(www.fr.wikipedia.org/wiki/Sébastien_Gaudard)

 

L'avis du Fooding
"Du marbre, des vitrines, des serveuses attifées en soubrettes, de divins éclairs bien ordonnés… Il fallait être aveugle pour ne pas deviner, déjà, dans la pâtisserie Sébastien Gaudard de la rue des Martyrs, un net penchant pour le classicisme. Dans sa deuxième adresse, avec pâtisserie au rez-de-chaussée et salon de thé "à la française" à l’entresol, quasiment face au Jardin des Tuileries, mêmes stricte exigence. Et si d’aucuns pourraient moquer le passéisme assumé de ces fauteuils crapauds, guéridons Empire et napperons en papier, reconnaissons que les quelques merveilles salées qu’on y sert clouent le bec : un des meilleurs croque-monsieur de Paris, tout en moelleux, au jambon de l’Aveyron et comté ; une tourte au feuilletage délicat ; et, fourré de veau du Limousin et de porc de Bigorre, sans doute le meilleur pâté lorrain de France ! Ainsi que des potages, une fraîche salade Caesar, un œuf coque avec des mouillettes… Une parfaite dînette grassement tarifée : de 9,90 € (l’œuf à la coque) à 22 € (la terrine de foie gras). Vins au verre 8 € et champagne Roederer 15 € la coupe. Quant aux pâtisseries du maître (7,60 à 9,10 €), elles s’accompagnent de chocolat chaud (7,50 €), thés d’origine (7,90 à 9,50 €) ou jus pressés (9 €). // Y.N."

ALAIN DUCASSE

 

Alain Ducasse, né le 13 septembre 1956 à Orthez (Basses-Pyrénées), est un chef cuisinier français, aujourd'hui de nationalité monégasque. Ce Gascon, méditerranéen de cœur, trois fois trois étoiles au Guide Michelin avec Le Louis XV à l’hôtel de Paris Monte-Carlo (en 1990), le Alain Ducasse au Plaza Athénée à Paris (en 1997) et le Alain Ducasse at The Dorchester à Londres, (en 2010), est président de Châteaux et Hôtels Collection depuis 1999 (près de 700 établissements) et dirigeant homme d'affaires consultant du Groupe Alain Ducasse, un empire d’hôtellerie restauration international de plus de 20 établissements et 1 400 employés. Il a été classé 94eme des 100 personnalités les plus influentes du monde par le magazine économique américain Forbes. Le 15 avril 2013 le magazine britannique Restaurant lui remet le Lifetime Achievement Award faisant partie de la liste San Pellegrino des cinquante meilleurs restaurants du monde. 

(www.fr.wikipedia.org/wiki/Alain_Ducasse)

 

L'avis de L'express
"Crée par le chef cuisinier Alain Ducasse et par le chef pâtissier Nicolas Berger, la Manufacture est un atelier où l'on confectionne le chocolat artisanalement, de la fève jusqu'au bonbon ou à la tablette, sur des machines à taille humaine et selon des méthodes traditionnelles. Le résultat est à tout point exceptionnel avec des produits aux goûts francs et marqués, pleins de personnalité. On apprécie tout particulièrement les pralinés travaillés à l'ancienne qui alternent entre le fondant et le croquant pour les amandes et noisettes-, mais aussi la tablette mendiant chocolat au lait 45% et noisettes caramélisées sans oublier l'extraordinairement gourmande pâte à tartiner praliné amandes et noisettes.

3 meilleures ventes : coffret découverte, tablettes pure origine, tablette mendiant Produit favori de Nicolas Berger: la tablette tradition Pérou non-conché 75% pour sa "texture brute, rustique" dans l'esprit de retour à l'origine qui caractérise la Manufacture."

PIERRE MAILLET

 

Joseph Carrier, épicier et relais de diligences, a vu arriver le chemin de fer à Chamonix en 1901.

Face à cette évolution, il décida en 1903 de construire la "Pension du Chemin de Fer", petit hôtel simple et rudimentaire ouvert seulement l’été. Lorsque Chamonix accueillit les premiers Jeux Olympiques d’hiver en 1924, la Pension du Chemin de Fer s’équipa en chauffage pour profiter du développement touristique de la montagne. Albert 1er, roi des Belges et alpiniste chevronné, devint un habitué de Chamonix. A sa mort en 1934, et suite à une brève gérance laissée à un Milanais pendant la guerre du Maroc, François-Joseph, fils de Joseph, rebaptisa l’hôtel "Albert 1er et de Milan".Une génération plus tard, Marcel et Andrée tiennent les rênes de l’hôtel. Marcel succède en cuisine à sa mère Clotilde et obtient en 1967 une étoile au Guide Michelin. En 1979, Pierre prend la relève en cuisine. En 1997, avec Martine, ils construisent trois fermes en vieux bois comprenant douze chambres, un espace bien-être avec piscine et spa et "La Maison Carrier" restaurant de pays. Un véritable Hameau … Cette même année, Pierre Maillet rejoint l’équipe de cuisine du restaurant Albert 1er en tant que commis. En 1999, Pierre Carrier obtient sa deuxième étoile au Guide Michelin, le Hameau Albert 1er entre au sein de la prestigieuse chaîne des Relais et Châteaux. Suite au mariage de Perrine, fille de Pierre Carrier avec Pierre Maillet, ce dernier est progressivement devenu chef aux fourneaux de l’Albert 1er. Aujourd’hui le Hameau Albert 1er est le reflet d’un triptyque familial.
(www.hameaualbert.fr)

 

L'avis du Michelin
"De la subtilité et de l'exigence, des bases classiques interprétées avec finesse, de beaux produits : cette cuisine raffinée est un plaisir pour les sens, et attire une clientèle de tous horizons. On se souviendra par exemple de ces savoureuses noix de Saint-Jacques sur un carpaccio aux légumes..."

2 étoiles MICHELIN : une cuisine d’exception. Vaut le détour ! Excellent standing. Nos plus belles adresses. Belle carte des vins.

GUY SAVOY

 

Guy Savoy, né le 24 juillet 1953 à Nevers, est un grand chef cuisinier français. Depuis 2002, Restaurant Guy Savoy, situé à la Monnaie de Paris, au 11 quai de Conti dans le 6e arrondissement de Paris, possède trois étoiles au Guide Michelin. En 1955 ses parents partent s'installer à Bourgoin-Jallieu en Isère (40 km au sud-est de Lyon) où son père est jardinier municipal et sa mère tient une buvette municipale sur le terrain de boule du village. Elle transforme rapidement cette buvette en « restaurant rapide » puis en restaurant renommé dans les environs et baptisé L’esplanade.

En 1969, âgé de 16 ans, Guy Savoy entre en apprentissage à Bourgoin-Jallieu chez le maître chocolatier Louis Marchand qui fut élève de Maurice Bernachon, le plus grand pâtissier-chocolatier de Lyon. En 1970, âgé de 17 ans, il entre en apprentissage chez les Frères Troisgros à Roanne. Il y restera 3 années. Lors de cet apprentissage, il noue une amitié indéfectible avec Bernard Loiseau. En 1973, il rejoint Paris et le restaurant Lasserre. Il continue à se perfectionner les années suivantes au Lion d'Or à Cologny sur les hauts de Genève et du lac Léman, et à L'Oasis à La Napoule sur la Côte d'Azur, dirigé par Louis Outhier.

(www.fr.wikipedia.org/wiki/Guy_Savoy)

 

L'avis du Michelin
"Guy Savoy, acte II ! En 2015, le chef a pris ses nouveaux quartiers dans le cadre exceptionnel de l'Hôtel de la Monnaie, à deux pas de l'Académie française. Il y écrit un nouveau chapitre de cette histoire entamée quelques décennies plus tôt : lorsque, petit garçon, il passait la tête au-dessus des casseroles familiales dans la cuisine de la Buvette de l'Esplanade, à Bourgoin-Jallieu... Aurait-il deviné, ce bambin, le destin qui l'attendait ? Avec son nouveau restaurant, il a vu les choses en - très - grand : six magnifiques salles parées de toiles contemporaines et de sculptures de premier ordre - dont un grand nombre sont prêtées par François Pinault -, avec de grandes fenêtres à huisseries anciennes donnant sur le quai de Conti et la Seine... Tout cela est la preuve ostensible de la réussite, bien sûr, mais ne détourne pas le grand chef de son oeuvre : cette gastronomie vécue comme une fête, ces créations authentiques dans leur expression, inventives mais sans excès, ces saveurs parfois brutes qui ne sont, au fond, que le prolongement naturel de sa main. Peu importe l'adresse, Guy Savoy reste toujours lui-même !"

3 étoiles MICHELIN : une cuisine unique. Vaut le voyage ! Excellent standing. Nos plus belles adresses. Belle carte des vins.

PATRICK ROGER

Fils de boulangers, Patrick commence son apprentissage à l’âge de 15 ans chez Maurice Boulay, boulanger-pâtissier de renom à Châteaudun1.

À 18 ans, Patrick Roger part pour la capitale et entre comme commis chez le pâtissier-chocolatier Pierre Mauduit.

Cette année 1986 sera la révélation chocolatée, Patrick découvre sa passion pour le chocolat. En 1997, après dix années passées en pâtisserie et seulement trois dans le chocolat, Patrick devient propriétaire de son fonds de commerce à Sceaux dans les Hauts-de-Seine. Trois mois plus tard, il dirige déjà 18 employés. Ces créations chocolatées sont très vite reconnues[réf. nécessaire] et couronnées de succès par le grand public[réf. nécessaire].

En 2000 il remporte le titre de Meilleur Ouvrier de France Chocolatier. Pour se qualifier, il présente une sculpture en chocolat appelée "Harold", un planteur accroupi qui travaille le cacao. Détail qui change tout : le colosse de 62 kg ne tient que sur la pointe des pieds !
(www.fr.wikipedia.org/wiki/Patrick_Roger_(chocolatier))

 

L'avis de France Inter

Patrick Roger est un chocolatier né le 9 juillet 1968 au Poislay, dans le Loir-et-Cher. Il est considéré comme l’un des meilleurs chocolatiers de France. Fils de boulangers et médiocre élève à l’école, il commence son apprentissage en pâtisserie à l’âge de 15 ans. A 18 ans, alors qu’il vient travailler à Paris chez le pâtissier traiteur Pierre Mauduit, il découvre sa passion pour le chocolat.
En 1997, après dix années passées en pâtisserie et seulement trois dans le chocolat, il décide d’ouvrir sa propre boutique-atelier à Sceaux. Grâce à ses créations chocolatées, il rencontre très vite le succès. Patrick Roger aime en effet transformer le chocolat en œuvres d’art et réalise notamment un planteur de cacao (qui lui permet d’obtenir en 2000 le titre de meilleur ouvrier de France), la chute du Mur de Berlin, les 40 ans des premiers pas de l’homme sur la lune, un sapin de Noël géant pour le Téléthon... Ce qui le caractérise est sa façon de travailler la matière du chocolat tel un sculpteur, d’associer les goûts et son choix de ne sélectionner que les meilleures fèves de cacao dans le monde entier. Il n'utilise que des plantes fraîches et conçoit quasiment tous ses chocolats à la main, dans son atelier de Sceaux. Au fil des ans, sa société grandit : il ouvre des boutiques à Paris, Saint-Germain-en-Laye et Bruxelles, tout en souhaitant demeurer un artisan indépendant.
Evoquant son histoire d’amour avec le chocolat, Patrick Roger confie à Maud Alfandari du Figaro : "On goûte un chocolat comme on embrasse quelqu’un. Le rétro olfactif parle tout de suite, on sait. Ça pique, ça machine dans la gorge, et puis vient l’émotion qui nous renverse".

JEAN-PAUL HEVIN

Jean-Paul Hévin grandit en Mayenne, de père arboriculteur. Enfant, sa mère, qui aimait cuisiner, lui apprend à faire ses premiers plats. C'est à 13 ans qu'il s'essaie à la confection de gâteaux, commençant par de simples tartes. Le moment venu de choisir son métier, Jean-Paul Hévin décide de devenir électronicien. Un heureux hasard voudra qu'il abandonne cette option, s'y étant pris trop tard pour s'inscrire au lycée de sa région. Il choisit donc de s'orienter vers la pâtisserie et la chocolaterie, et s'inscrit au lycée technique Robert-Buron, à Laval, où il obtient son CAP quelques années plus tard.

Une fois son CAP obtenu, Jean-Paul Hévin monte à Paris où il travaille au prestigieux hôtel Intercontinental. Très vite, il se passionne pour le chocolat. En 1976 il entre à l’hôtel Nikko, et fait ses classes auprès de Joël Robuchon. Entre 1979 et 1984, il participe à de nombreux concours, et découvre progressivement le Japon, où il exercera par la suite au sein de la maison Peltier à Tokyo. Durant ces années, il multiplie les prix et récompenses diverses. À 26 ans, il obtient le premier prix international de la Chocolaterie et, trois ans après, en 1986, il reçoit le titre prestigieux de meilleur ouvrier de France, considéré comme la récompense la plus importante du métier.

En 1999, il crée des chocolats apéritifs au fromage (chèvreroquefortpont-l'évêque et époisses).

Au Japon, Jean-Paul Hévin est très connu. En 2002, il y ouvre ses deux premières boutiques : à Tokyo et à Hiroshima. C'est aussi l'année où il lance Hévin, sa ligne de prêt-à-croquer du chocolat. En 2004, le quotidien économique Nikkei Shinbun classe Jean-Paul Hévin n°1 des chocolatiers présents au Japon. De 2002 à 2008, six boutiques Jean-Paul Hévin ouvrent au Japon. En mars 2008, il ouvre une boutique à Hong Kong, suivies de deux autres, et une à Shanghai en janvier 2010. En 2014, la maison Hévin écoule 60 % de ses chocolats en Asie, dont trente tonnes au Japon.
(https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Paul_Hévin)

 

L'avis de L'Express Styles

Artisan chocolatier et chef pâtissier, Jean-Paul Hévin a découvert sa passion grâce à sa famille, en Mayenne. Après avoir fait ses armes auprès de Joël Robuchon, il part travailler au Japon, au sein de la maison Peltier. Très vite, il enchaîne les récompenses et les prix (Coupe de France de pâtisserie, Prix international de la chocolaterie...) et il obtient le titre de Meilleur Ouvrier de France en 1986. En 1988, il ouvre sa première boutique. Depuis, sa société est devenue internationale et son talent ne cesse d'être célébré.

CHRISTOPHE MICHALAK

Christophe Michalak né en 1973, à Senlis dans l’Oise, dans une famille d’origine italienne, rêve d’être dessinateur. A 16 ans, faute d'entrer aux Beaux Arts, il passe directement à la vie active. Il se constitue peu à peu une bibliothèque culinaire et cultive sa mémoire gustative et son goût des arts. Il obtient son CAP de pâtisserie à la Chambre des Métiers d'Angers. Parallèlement, il apprend à bien se nourrir et l'adolescent boutonneux et un peu enrobé devient ce jeune homme au physique séduisant que connaissent ses nombreuses admiratrices. Aujourd'hui, mondialement connu, Christophe Michalak dit tenir de sa mère de vraies valeurs : respect, travail, rigueur, honnêteté mais aussi la « niaque », tout ce qui lui a permis de réussir une brillante carrière. Après son CAP, il poursuit sa formation dans différents établissements de par le monde. A 18 ans, il gagne le concours de meilleur apprenti départemental qui lui permet de décrocher un stage au Hilton Park Lane de Londres puis de Bruxelles, suivi de deux années au Negresco à Nice, de 1993 à 1995. Il rêve de travailler avec Pierre Hermé et sa ténacité, là encore, lui permet d’être embauché à ses cotés chez Fauchon, où il restera de 1995 à 1997. Le chef pâtissier restera un de ses mentors. Ce poste lui permet aussi de rencontrer un autre grand pâtissier Sébastien Gaudard, à l’époque adjoint de Pierre Hermé. Puis, direction le Japon, où son ancien patron du Negresco, Gregory Collet, a ouvert une pâtisserie à Kobé et lui demande de venir le rejoindre. Il y retrouve quelques temps plus tard Pierre Hermé, qu’il suit cette fois ci à New-York, en tant que consultant. Puis en 1999, retour à Paris chez Ladurée, en tant qu’extra, puis au poste de sous-chef au bout d’un mois. Fin 2000, Jean-François Piège le contacte. Alain Ducasse lui a confié les commandes du Plaza Athénée pour le restructurer. Il accepte et devient chef pâtissier du Plaza-Athénée En 2005, il remporte la "Coupe du Monde de Pâtisserie" avec l'équipe de France. 

Christophe Michalak est aussi devenu connu du grand public en animant des émissions télévisées. Après quelques passages dans Top Chef, le groupe de Nicolas de Tavernost lui confie en 2012 sa propre émission sur la chaîne Téva, « le Gâteau de mes rêves » dans laquelle il se rend chez des particuliers pour leur cuisiner le gâteau de leurs rêves. Puis à partir de juillet 2013, il fait partie du jury du concours « Qui sera le prochain grand pâtissier ? » sur France 2. Enfin, depuis 2013, il officie tous les jours sur France 2 dans l’émission « Dans la peau d’un chef » qu’il co-produit avec sa société Food-Prod. Il ouvre également une école de pâtisserie pour faire découvrir et transmettre le vrai métier de pâtissier. Dans un premier espace entièrement dédié à la pâtisserie au 60, rue du Faubourg-Poissonnière dans le 10ème à Paris, il propose des cours pour les particuliers, ainsi qu'une boutique de vente à emporter. Une carrière exemplaire, une vocation qui a débutée par un goût immodéré du sucre. A bientôt quarante ans Christophe Michalak est un chef pâtissier qui sait qu'il ne faut pas s'arrêter de surprendre.  
(http://www.terroirsdechefs.com/les-grands-chefs-etoiles-de-france/biographies-des-grands-chefs-cuisiniers-de-france/Christophe-Michalak)

 

L'avis de L'Express Styles

Pâtissier de renom, Christophe Michalak n'a de cesse d'avancer. Né en 1973, il passe très vite par de grands hôtels et maisons de luxe peu après sa formation: Negresco (Nice), Fauchon (Paris), Pierre Hermé(New York), Ladurée (Paris)... En 2000, il devient chef pâtissier à l'hôtel Plaza-Athénée, à Paris. En 2005, il emporte la coupe du monde de pâtisserie. En parallèle, il publie des livres de recettes et apparaît dans des émissions de télévision, en tant qu'invité, juré (Qui sera le prochain grand pâtissier?) ou présentateur (Le gâteau de mes rêves, Dans la peau d'un chef). En 2013, il ouvre la Michalak Masterclass, où sont donnés des cours de pâtisserie. Fin 2015, il ouvre sa propre pâtisserie à Paris (IVe).

"De toutes les passions, la seule vraiment respectable me paraît être la gourmandise"Guy de Maupassant. 1881 (Amoureux et primeurs).

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